12km avec Gisèle et Anne-Claire
Le ciel (notamment Saint-Jacques patron des randonneurs) était avec nous en ce dimanche, puisque la pluie qui nous arrosait depuis le milieu de la semaine a bien voulu s’arrêter de tomber. C’est donc plutôt contents que nous avons pris la route depuis Bougival vers Montfort l’Amaury pour notre randonnée dominicale.
Quelques minutes pour s’équiper et nous voilà partis sur un joli sentier vers l’étang de la plaine. Ses eaux sont grises, couleur du ciel, mais le vert des feuillages, encore empreint de brume matinale, apporte douceur et harmonie. Un petit virage à gauche, le long d’un pré où paissent paisiblement des chevaux, et nous pénétrons dans la forêt, accueillis par les oiseaux. Nous en sortons pour retrouver la Millière et admirer une fois de plus (mais nous ne nous en lassons pas) les magnifiques parcs que traverse le chemin. La cabane perchée est toujours là pour nous faire rêver comme la mare des Cormiers et les magnifiques chênes qui profitent de l’espace pour déployer élégamment leurs branches. Et, comme nous l’espérions, plusieurs des gigantesques rhododendrons sont en fleurs ! Quelques minutes pour les admirer et prendre des photos et nous voilà repartis : il faut respecter l’horaire ! Arrivés au carrefour du Comte de Toulouse la table est prête pour la pause : fruits secs, biscuits, thé et café. Un petit coup d’œil au plan (et à la boussole) pour choisir lequel des larges chemins qui convergent vers ce rond-point il nous faut emprunter et nous reprenons notre périple. Rapidement nous obliquons sur un charmant (et discret) petit sentier qui longe le ruisseau des Brûlins et nous conduit à l’étang de la porte Baudet, lui aussi aujourd’hui joliment coloré en gris et vert. Encore un petit kilomètre et nous retrouvons l’étang de la Plaine. Nous n’en croyons pas nos yeux : un lion (certes en peluche mais quand même !) est nonchalamment allongé sur l’appontement ! Le parking est proche ; la balade se termine et nous avons tous le sourire en remontant dans nos voitures. Les organisatrices remercient l’auteur du parcours dont elles ne veulent pas heurter la modestie en citant son nom (mais que vous aurez bien sûr tous reconnu !). Diaporama.